Archives de catégorie : Activités

LA TRANSFORMATION DES QUARTIERS POPULAIRES

Le film « Mille et une Vies bellevilloises » de Stéphanie De Lara retrace, de 1994 à 2005, l’évolution sociale, culturelle et urbanistique du quartier de Belleville, situé dans le Nord-Est de Paris. Quatre-vingts nationalités différentes vivent au quotidien une cohabitation, la plupart du temps, harmonieuse.

Entrée libre

Possibilité de diner sur place

Espace MACAQ
123, rue de Tocqueville (75017)

http://www.macaq.org

Contact ciné-débats
charlotte.roustang@gmail.com

« Les Garçons Ramponeau », un film de Patrice Spadoni présenté par le réalisateur au Musée du Quai BRANLY

DVD
Le film en DVD (coffret 4 DVD avec le film et les entretiens) peut être commandé auprès de Canal Marches, 122 rue des Couronnes, 75020, Paris. 19 euros + 3 euros de frais de port = 22 euros. Chèque à l’ordre de Canal Marches. Une facture peut vous être délivrée.

Projection
jeudi 18 juin 2009 à 18 h 30
Salle : ateliers 2 et 3

entrée

L’entrée au musée s’effectue par la rue de l’Université ou par le quai Branly.

– 1 entrée Debilly : 37 quai Branly, face à la passerelle Debilly
– 2 entrée Université : 218 rue de l’Université
– 3 entrée des Bassins : 206 rue de l’Université

Les personnes en situation de handicap moteur sont invitées à se présenter au 222, rue de l’Université (entrée administrative).
transports en commun

métro : Iéna (ligne 9), Alma-Marceau (ligne 9), Pont de l’Alma (RER C), Bir Hakeim (ligne 6).

bus : ligne 42 arrêt Tour Eiffel ; lignes 63, 80, 92 : arrêt Bosquet-Rapp ; ligne 72 arrêt musée d’art moderne – Palais de Tokyo

Une projection organisée par la société savante des Euro-Asiatiques

Vous pouvez consulter le site du Musée du Quai Branly :
http://www.quaibranly.fr/fr/enseignement/actualites/index.html

Belleville Cinéma : Une journée de cinéma à Belleville, par les habitants du quartier. Avec Belleville en vue(s), Canal Marches et Pavé et Manivelle

Belleville Cinéma. Une journée de cinéma à Belleville, par les
habitants du quartier.
En partenariat avec l’EDL Belleville/Amandiers et les centres sociaux Archipélia, Le
Picoulet, Le Relais Ménilmontant et La Maison du Bas Belleville.

-Samedi 13 juin 2009 de 14h à 22h

à la Maison des Métallos,
94, rue Jean Pierre Timbaud 75011 Paris.

PROGRAMME

14h
– Court métrage réalisé par les adolescents des centres sociaux La Maison du Bas
Belleville et le Relais Ménilmontant, avec l’association Canal Marches :

A LA RECHERCHE DES CINEMAS DISPARUS

Une enquête sur les anciens cinémas de quartier menée auprès des habitants de
Belleville et de Ménilmontant.

Animateur de l’atelier Thibault Dufour

– 3 courts métrages d’animation selectionnés en atelier de programmation par les enfants
du centre social Archipélia :

KOKOA de Moustapha Alassane, Niger, 2001, 15′

Dans la République des Crapauds est organisée une grande journée de combats mettant
aux prises les meilleurs lutteurs du pays, sous l’oeil expert de spectateurs partisans. Qui
l’emportera, de la grenouille, du scorpion ou du caméléon ?

VOISINS de Norman Mac Laren, Canada, 1952, 8′

Deux voisins cohabitent en paix jusqu’à ce qu’une fleur pouuse sur la frontière séparant
leurs jardins.

FLAT LIFE de Jonas Geirnaert, Belgique, 2004, 10′

La vie de quatre personnes ordinaires dans leurs activités quotidiennes ; accrochant une
peinture au mur, regardant la télé, construisant un château de cartes et faisant la lessive.
Le pire étant qu’ils sont voisins…

15h30

Long métrage selectionné en atelier de programmation par les adultes de l’ Atelier Socio-
Linguistique du centre social Le Picoulet.

WATER* de Deepa Mehta, Inde/Canada, 2006 , 1h58

Le film se déroule dans l’Inde coloniale de 1938, au moment où Gandhi arrive au pouvoir.
L’histoire commence le jour où Chuyia, âgée de 7 ans, perd son mari et est envoyée dans
une maison où les veuves hindous vivent en pénitence. Agées de 18 à 80 ans, ces
femmes « paria » à la tête rasée, mendient pour manger et passent leur temps à prier en
attendant la mort.
L’arrivée de cette enfant curieuse et innocente va affecter la vie des autres résidentes. Et
notamment celle de Kalyani, une belle veuve qui tombe amoureuse de Narayan, un jeune
idéaliste, disciple de Gandhi.
Peu à peu, la présence de Chuyia va ébranler tout ce qu’elles se sont résignées à
accepter et les pousser à se révolter contre la tyrannie de ce mode de vie dépassé et
controversé.

*Le film sera projeté en version française

18h
-Table ronde : « Quelle salle de cinéma pour Belleville? »

Intervention des 3 associations organisatrices de l’événement et d’autres structures
alternatives de diffusion du cinéma : Emmanuel Gibouleau du Cinématographe (Nantes),
Sabine Zipci de l’association Silhouette, organisatrice du festival du même nom aux Buttes
Chaumont…

20h30

Projection en présence du réalisateur :

AUTOPRODUCTION de Virgil Vernier, France, 2007, 1h14

Paris, juillet-octobre 2007. Nicola Sornaga tourne dans les rues de Belleville un long-métrage sans argent. L’histoire de Morimoto, un Japonais de soixante ans qui ne parle pas français, perdu dans les rues de la ville, et qui croise toute la faune du quartier : des marginaux, des clochards célestes, des sans-papiers, des rockeurs… dans ce film, chacun joue son propre rôle. À mesure que le film avance, le tournage multiplie les expériences de mise en scène, tourne à la performance et devient une sorte d’épopée urbaine, de combat passionné pour le cinéma et la survie…

En partenariat avec l’EDL Belleville/Amandiers, La maison des métallos, Arcadi.
Avec le soutien de la Mairie de Paris et la DRDJS.

Belleville en vue(s) – Programme Juin 2009

Le jeudi 4 juin, nous participons à la carte blanche du café social Ayyem Zamen consacrée à l’Algérie, L’ALGERIE AU COEUR, en projetant, en plein air, sur la place Alphonse Allais, MASCARADES, une comédie algérienne de Lyes Salem, récemment sorti en salle, en présence du réalisateur.

Le dimanche 7 juin, une soirée au studio de l’Ermitage qui sera particulièrement animée : SOUCOUPES EN VUE(S), sur la science-fiction américaine des années 50. En présence de quelques martiens venus nous rendre visite pour l’occasion.

Et pour continuer la soirée, un atelier spécial le mercredi 10 juin, dans nos locaux sur LE CINEMA FANTASTIQUE ET DE SCIENCE-FICTION.

Le samedi 13 juin, à la Maison des métallos, un événement à ne manquer sous aucun pretexte! BELLEVILLE CINEMA. Une journée entière de projections et de rencontres organisée par nous-même, Canal Marches et Pavé et Manivelle (Bobines sociales). Des films réalisés pour l’occasion ou choisis par des habitants de Belleville, via les centres sociaux du quartier, une table ronde sur la question « Quelle salle de cinéma pour Belleville? » … Ne serait-ce que le temps d’une journée, Belleville retrouvera son cinéma de quartier.

Le mercredi 17, la dernière ciné-conférence de l’année consacrée au CINEMA BURKINABE, avec une sélection de courts métrages contemporains.

Et encore d’autres projections en plein air : le 20 juin, dans le cadre du festival « Et 20 l’été » organisé par la mairie du XXe, L’ESQUIVE d’Abdellatif Kechiche, square des Saints Simoniens, et le 27, avec le Conseil de quartier Bas Belleville – Mairie du XIXe, PEAU D’ANE de Jacques Demy, place Marcel Achard.

Le programme complet sur www.bellevilleenvues.net

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La FIFDH propose «La marche des gueux» un film de François Verlet.

Ils étaient 25 000 en 2007. Les sans-terre : déracinés, spoliés, chassés, menacés… Femmes, hommes, enfants, vieillards ou jeunes gens, tribaux, intouchables ou de basses castes, en saris ou en guenilles, ils ont marché… venus de 18 Etats différents de l’Inde, le long d’une route reliant Delhi, vers un destin qu’ils se créent afin de récupérer leur droit à la terre et à une vie décente.

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« Place des élèves » de Christophe Marcoux

« L’idée de ce livre est née le jour où j’ai reçu, comme un grand nombre de mes collègues enseignants, la « Lettre aux éducateurs » écrite par Nicolas Sarkozy. En réaction à la lecture de ce document de 31 pages, j’ai réalisé un reportage photographique sur les actions de résistance du quartier de Belleville où je vis. »

Cet ouvrage est le résultat, sans commentaire ajouté, de la confrontation entre des extraits de cette lettre, et des images témoignant de la perpétuelle insécurité de la place de ces élèves de sans-papiers dans nos écoles.

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