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7ème festival CinéBanlieue

A noter parmi les rencontres des réalisateurs et des scénaristes avec le public, la présence de Rachid Djaïdani autour de ses films « Rengaine », et « La ligne brune » celle de Brahim Fritah pour « Chronique d’une cour de récré ».

Deux avant-premières à découvrir au cinéma l’Ecran : « Chronique d’une cour de récré » de Brahim Fritah, jeudi 15 novembre à 20 h 30 et un film surprise (film de Clôture), samedi 17 novembre à 20 h 30.

A signaler également, la Master Class : la direction des enfants-acteurs au cinéma autour du film « Sur la route du paradis » de Uda Benyamina. Séance animée par Morad Kertobi, directeur du département court-métrage au CNC, Vendredi 16 novembre à 15H30 au cinéma l’Ecran de Saint-Denis, en présence de professionnels du cinéma.

Nouveauté cette année, la compétition « Cinébanlieue – Talents en court », plus de 200 films reçus et deux réalisateurs se verront remettre un prix et bénéficieront d’un tutorat technique et artistique.

Soirée Talents en court à la Cité du Cinéma vendredi 16 novembre :

à 19 h 30 Grand prix Cinébanlieue/Talents en court en partenariat avec la production Le Cercle (Groupe PM), le CNC, L’École de la Cité et DIgimage : projection des films des lauréats en leur présence.
20 h 30 remise des prix Cinébanlieue en présence d’Éric Garandeau (directeur du CNC), des membres du jury : Reda Kateb ( comédien – Parrain du prix Talents en court -) et Patricia Mazuy (réalisatrice), Alice Diop (réalisatrice), Pio Marmaï (comédien), Yassine Qnia (réalisateur), Samira Djouadi (directrice de la Fondation TF1), Nathalie Leperlier (productrice, Le Cercle- Groupe PM), Brieux Férot (journaliste à So Film, organisateur de Super 8, l’année du Cinéma à Paris 8), Isabelle Agid (Vice-présidente de l’école de la Cité et chargée de mission chez Europacorp).
21 h 00 Concert de Southclub (Jazz moderne).

La soirée d’ouverture aura lieu le mercredi 14 novembre à 19H 00 en fanfare devant le cinéma L’ Écran à Saint-Denis et la projection à 20H00 des films La ligne brune et Rengaine de Rachid Djaïdani, en présence du réalisateur et des acteurs.

1952 – 2012 : 60 ans de mémoire de l’Usine Renault Flins


Débat avec les deux réalisateurs, les animateurs/concepteurs de ce projet et des syndicalistes de Renault Flins d’hier et d’aujourd’hui.

Dans un contexte inquiétant où la vie de milliers de salariés est dramatiquement percutée par des choix d’industriels contestés et contestables, ce film tombe à point nommé pour s interroger sur l’impact historique et social de l’automobile ainsi que son avenir autrement qu’à travers des tableaux de chiffres ou des discours convenus…

60 années nous sont donc racontées, par les hommes et femmes qui ont fait Flins. Ouvriers, cadres, personnels administratifs, délégués syndicaux : parlent de leurs souvenirs : le travail, la chaîne, la solidarité, les conflits, les peines, les joies, tous les événements qui font de l’usine de Flins, une usine si particulière. Une usine « mythique » qui a laissé et laisse encore son empreinte dans la vie des hommes et du territoire. De l’entretien témoignage individuel, à la mise en présence des anciens et des plus jeunes, l’idée est aussi de donner à voir comment à travers un lieu, une usine, la solidarité et la transmission s’opèrent…..

Dans le débat, nous confronterons ce « Mythe de Flins » version 2012 avec des extraits du film de Jean-Pierre Thorn sur Flins 1968 « Oser lutter , oser vaincre » qui contribua il y a plus de 40 ans au « mythe de Flins »…

Et aussi :
Ne manquez pas 2 autres rendez-vous en octobre:

une table ronde , un dîner-spectacle, des expos…

Projet réalisé par le Théâtre du Mantois / la Nacelle d’ Aubergenville , le GRMACE ( Groupe de Recherche sur Mémoire Collective d’Aubergenville et Elisabethville) et en collaboration avec ATTAC 78 nord pour le ciné-débat.

Samedi 20 octobre à 20h30 à la Nacelle d’Aubergenville
Cabaret-Renault, créé par le Théâtre du Mantois

Autour d’un « apéro-ripaille » partagé ensemble, cette célébration prend la forme d’une revue cabaret, qui mêle expositions, mise en jeu de témoignages et de souvenirs, chansons sur l’automobile, projection d’un film documentaire, chorégraphies « industrielles »…Le tout empreint de bonne humeur autant que d’émotion !

Un kaléidoscope impressionniste pour retracer les grandes lignes de l’histoire et des évolutions de l’usine, les modèles construits au fil des années, évoquer le modèle social de Renault, les luttes et la condition ouvrières, le mythe révolutionnaire, la chronique de l’immigration ou encore la place des femmes dans l’usine…

Expositions : conditions de travail, histoire succincte de l’usine et sa production, affiches, vidéos par thèmes, diaporama, espace sur les grandes luttes dont 1968… (jusqu’au 15 décembre à la Nacelle) –

Entrée : 8, 13 ou 15 € – Repas inclus- Inscrivez vous vite ! au CE ou à la Nacelle 01 30 95 37 76

Vendredi 12 octobre 20h30 à la Maison de voisinage d’Elisabethville, Place de l’Etoile

Table ronde avec des acteurs sociaux de Renault Flins

L’impact (social, économique etc..) de l’usine pendant 60 ans dans la région.
Intervenants : Yves Clot, psychologue du travail et auteur, Didier Masfrand, historien du GRMACE, Daniel Richter, dirigeant CFDT Renault Flins et Métallurgie (à la retraite),, Jean-Jacques Ferchal, ancien de Renault Flins, et ancien cadre responsable des risques santé- sécurité, à la retraite, Fatima, une salariée … Animation assurée par Jean Guy Martin du GRMACE

Entrée gratuite

FESTIVAL DE JEUNE CINEMA DOCUMENTAIRE EUROPEEN Frontières, du visible à l’invisible

UN MOUVEMENT SCHIZOPHRÉNIQUE

Partout en Europe, alors même qu’elles ont supprimé les frontières intérieures, les nations continuent de dresser des murs contre la libre circulation des hommes. Où commence l’Europe ? Où se termine t-elle ? L’Europe se caractérise par un mouvement schizophrénique : elle s’ouvre sur elle-même en même temps qu’elle se referme sur les autres.

DES FRONTIÈRES DANS LES TÊTES

Au-delà des frontières territoriales qui affectent les mouvements migratoires, des frontières invisibles, mentales, culturelles, subsistent dans les esprits des citoyens européens et renvoient à la question de l’identité et des racines. Trajets migratoires, histoires intimes et familiales, les films, en donnant la parole aux citoyens, font état des problématiques générées par la construction de l’Europe contemporaine.

ÉCLAIRER LE CINÉMA PAR LA SOCIÉTÉ ET ÉCLAIRER LA SOCIÉTÉ PAR LE CINÉMA

Ce festival de cinéma documentaire entend montrer le regard de jeunes réalisateurs européens en le confrontant à la parole d’intellectuels pour appréhender le rapport de l’Europe aux autres, son rapport au monde. Il s’agit, comme le souligne Edgar Morin, « d’éclairer le cinéma par la société et d’éclairer la société par le cinéma ».

L’association Belleville en Vue(s)

Pratiquant un nomadisme de quartier depuis 2004, Belleville en Vue(s) propose tout au long de l’année des projections de films et des ateliers de sensibilisation à l’image aux habitants de Belleville, en partenariat avec les acteurs sociaux et culturels du quartier.
Saison 2012/2013, Belleville en Vue(s) s’engage pour la Syrie, en soutenant les artistes et les cinéastes.

En savoir plus : http://www.belleville-en-vues.org/

Festival des Utopies Concrètes

Jeudi 27 Septembre à partir de 19h – Paris 2ème. Salle Jean Dame. 17 rue Léopold Belland : ouverture du Festival

La soirée d’ouverture est consacrée aux ponts qui peuvent être jeté entre des luttes locales contre l’exploitation des ressources non renouvelables et la résistance à l’extractivisme d’une part et les alternatives concrètes locales d’autre part, en lien avec le mouvement des villes en transition. Cette soirée est à relier à l’Appel Minga lancé cet été par plusieurs associations et collectifs impliqués dans les luttes et les alternatives locales : (Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site ALDEAH)

Présentation de la soirée d’ouverture :

18h30 : ouverture des portes de la salle Jean-Dame

19h15 : discours de bienvenue de Jacques Boutault, maire du 2eme arrdt

19h20 : présentation du Festival des Utopies Concrètes

19h25 : Introduction de la soirée et du débat par Nicolas Sersiron du CADTM, grand témoin

1ere partie de la soirée – Animation Fabrice Flipo (journaliste-revue Mouvements)

19h35 : intervention des représentants de communauté indigène du Guatemala et d’Équateur (les indiens Sarayaku)

20h15-20h45 : débat avec la salle

2e partie de la soirée – Animation Agnès Sinaï (Journaliste-Institut Momentum)

20h45 : intervention du collectif « Non au gaz et au pétrole de schiste en Ile-de-France »

20h55 : intervention de présentation de l’Appel Minga

21h00 : intervention de l’association Relocalisons

21h15 : intervention de Barricade

21h30 : Présentation par Agnès Sinaï de l’Institut Momentum

21h40 : débat avec la salle

22h15 : fin de la soirée

22h30 : fermeture des portes

Vendredi 28 Septembre à partir de 18h à 22h30 – Paris 10e – Centre Jean Verdier, 11 rue de Lancry

Projection du documentaire « Les semences prennent le maquis » avec interview de Pierre Rabhi suivi d’un débat sur les semences avec Graines de Troc, Terre et Humanisme.. animé par Fabrice Flipo (revue Mouvements)

Samedi 29 Septembre de 10h à 18h – Paris 19ème – Quai de Seine (place Stalingrad) / péniche Antipode

Village des Utopies Concrètes avec stands et animations (avec la présence de nombreuses associations, collectifs, coopératives : Marchés sur l’Eau, coopérative autogérée L’Indépendante, librairie Le Passager Clandestin, Terre de Liens, Relocalisons, Ecobox, AMAP IdF, Collectifs anti gaz et pétrole de schiste…) – Projections / Débats sur la péniche Antipode – atelier Poésie et Transition….

A partir de 19h, soirée festive à Ecobox – Paris 18e – 7 impasse de la Chapelle

Avec repas sous forme d’Auberge espagnole et spectacles : « La Folle, le retour » de Mirta Caamaño et Alain Dordé avec Mirta Caamaño dans le rôle de La Folle.

Le personnage principal de la pièce La Folle de Chaillot de Jean Giraudoux (1882 – 1944) qui avait réussi a « évaporer » les monstres qui menaçaient de détruire son quartier de Chaillot et tout Paris pour chercher du pétrole, est appelée à sortir de son milieu naturel – la fiction à la lumière du théâtre – pour venir constater, à la lumière de notre monde, une réalité « qui dépasse la plus folle des fictions » : les monstres de Chaillot sont renaissants sous la forme « plus habile, tenace et sournoise, d’un monstre planétaire, multiforme et protéiforme fait des plus bas instincts du prédateur humain » qui menace de détruire la vie sur la planète entière. Elle propose un nouveau plan d’évaporation…

Lecture des poèmes en Introduction et en conclusion par Clara Breteau.