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Programme des festivités pour ce mois de février 2008 à Belleville
du 17 au 28 février, en divers lieux de Belleville, Paris

Belleville en Vue invite tous les amoureux de Belleville pour des soirées/projection exceptionnelles

- Dimanche 17 février à 19h, au Studio de l’Ermitage :
8, rue de l’Ermitage - 75020 Paris - M° Jourdain

Belleville : ça va...ça vient.

Soirée EXCEPTIONNELLE pour tous les amoureux de Belleville !
D’abord un court métrage rarissime de Jean Douchet, grand critique de
cinéma issu de la Nouvelle vague, Le mannequin de Belleville, où l’on
suit les tribulations d’un photographe et de son mannequin à travers
les rues du Belleville des années soixante, en voie de disparition.
Et puis un autre film rare et précieux de Pierre Barouh, Ca va ça
vient, ou comment, à l’occasion d’une grève des transports, un ouvrier
(Areski) travaillant sur le chantier de la place des fêtes fait un "pas
de côté" et se retrouve embarqué dans le Grand Magique Circus.
Un film à l’esprit flâneur et anticonformiste, un espace-temps où tout
devient possible, avec, en filigrane, la démolition du vieux
Belleville.
En présence de Pierre Barouh, de sa guitare et autres surprises...

- Mercredi 20 février à 18h30, au local de Belleville en vue(s) :
10-12 allée du Père Julien Dhuit - 75020 Paris - M° Jourdain ou
Pyrenées
Atelier de découverte du cinéma : La lumière et la couleur au cinéma.
A travers plusieurs extraits, nous verrons à quel point le cinéma est,
par excellence, l’art de la lumière et des ombres.
Entrée libre sur reservation au 01 40 33 94 15 ou
contact@bellevilleenvues.net

- Jeudi 28 février à 18h , à l’auditorium du pavillon Carré de Baudoin :
121, rue de Ménilmontant - 75020 Paris - M°Gambetta ou Jourdain
Dans le cadre des Jeudis de la Mairie du XXème
Histoires de cinéma : L’expressionnisme allemand
Sur les ruines de la Première Guerre mondiale surgit un cinéma
d’apocalypse, fiévreux et révolté.
Décors convulsifs aux perspectives distordues, intense dramaturgie des
ombres et des lumières, personnages inquiétants et premiers « serial
killers », jeu d’acteurs halluciné, la vision expressionniste témoigne
d’un monde en proie aux cauchemars et aux visions déformantes.
Projection du film d’Arthur Robison : « Le montreur d’ombres » , 1923,
1h24

Entrée libre sur reservation au 01 40 33 94 15 ou
contact@bellevilleenvues.net

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Belleville en vue(s),
contact@bellevilleenvues.net
01.40.33.94.15
10-12 allée du Père Julien Dhuit - 75020 Paris



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