« Viens écoute, ces mots qui vibrent
Sur les murs du mois de mai
Ils nous disent la certitude
Que tout peut changer un jour »
C’est que dit Georges Moustaki dans une des chansons emblématique de
ce mois de mai. Et Greil Marcus, fameux critique de rock, nous parle de
« l’illusion selon laquelle, à chaque bonne chanson, le monde
recommence à zéro, l’ardoise est complètement effacée, tous les
triomphes sont pour tout de suite, toutes les défaites pour demain ».
Une illusion bien positive, évidemment.
C’est cet état d’esprit qui guidera cette soirée : des origines du
rock et du folk aux envolées psychédéliques de Woodstock, un survol de
la chanson des années 60 et 70, à l’heure de la révolution mondiale :
Eddy Cohran, Dylan, Antoine, les chansons des barricades, Ferré, John
Lennon, Colette Magny…
Diaporamas musicaux commentés par Alain Dordé, mise en scène théâtrale
par la compagnie Amor Fini, chansons par Vania Adrien Sens, chanteur du
groupe soixante-huitard « Les barricadiers », Jacques Fattus et Romain
Panassié.