Cinéma le Barbizon, programme juin et début juillet

AU CINEMA LE BARBIZON
Bonjour à tous,

Voilà le programme prévu en juin au Cinéma Le Barbizon. Attention le 10 juin c’est à la Maisons des associations, 11 rue Caillaux, 75 013 Paris et le 18 juin c’est un stand d’information à Bercy.

A Bientôt

Les Amis de Tolbiac

Le Barbizon : 141 rue de Tolbiac, 75013 Paris,
(Métro : Tolbiac, bus: 47, 62)
Attention ! La station Tolbiac est en travaux jusqu‚au 1er juillet !
Site : www.lebarbizon.org
(Participation libre)


-Vendredi 10 juin

Attention : « Le Barbizon » hors les murs I

A la Maison des Associations,

11 rue Caillaux 75013 Paris,

métro : Maison Blanche

Dans le cadre de la démocratie Participative, la Maison des Associations du 13ème arrondissement organise une soirée conviviale incluant un apéritif, des projections cinématographiques et une dégustation de « Desserts du Monde » concoctés par des acteurs associatifs travaillant en lien avec des pays étrangers.

17h30 2APROD Fiction comique de 20 min + autres courts métrages

18h30 TELEPLAISANCE Courts métrages + surprises

19h30 LES AMIS DE TOLBIAC ; Présentation en avant-première de « Le Barbizon ou la vie underground », 2005, 1h20min de Daniel Ropars, en présence du réalisateur et d‚une partie de l‚équipe des Amis de Tolbiac

20h30 1 DEMI 2 TROP PRODUCTION Best of des Séquences intemporelles de reportages dans les quartiers

-Samedi 11 juin 16h00

Atelier philo
L’objectif de cet atelier est d’essayer de « décortiquer » ce qui ce passe dans les mouvements alter-mondialistes à partir du travail d’analyse que nous avons fait dans les 3 premiers ateliers philo, qui faisaient parti d’un premier cycle que nous pourrions appeler « les rapports de pouvoir dans le monde militant », et qui était la principale préoccupation et source de malaise pour certains d’entre nous depuis le début de l’expérience Nomad-Babels a Mumbai.

-Dimanche 12 juin 2005 à partir de 15h00

Alternateuf :

Expositions, débats,…

Projection de courts-métrages extraits de télés associatives
(vers 16H) Théatre-forum avec la troupe « poing de vue »
(vers 18H) Concert : « Elzef » en acoustique
Bouffe-bio en soirée

20h30 : « La Carotte et le bâton », documentaire français

en couleurs de Stéphane Arnoux, 74 min, 2004 .

En présence du réalisateur !
Une investigation d’une année au c?ur du mouvement social porté par des intellectuels, des artistes, des enseignants, des chercheurs, engagés pour une société alternative et républicaine. frappants. Tels sont les qualités de ce documentaire dont l’engagement reste salutaire.

Télérama – François Gorin
(…) les contre-feux allumés par ce type de documentaire le sont aussi par les débats qu’il suscite. Or celui-ci est plutôt bien construit. De sa relative minceur en témoignages naît une clarté que menace, en d’autres cas, l’accumulation des pièces au dossier (…).

L’Humanité – Maurice Ulrich

Plus qu’une addition de discours, de revendications des uns et des autres,
le film est bien une mise en perspective de ce qui est : un changement de société.
Libération – Philippe Azoury
La Carotte et le bâton ne contient aucun scoop (le film n’y prétend pas), mais dresse, trois ans après la présidentielle de 2002, un constat désenchanté qui a la valeur d’une sonnette d’alarme tirée à toute volée : la remise en question de la refondation sociale et des mondialisations continue de se penser hors cadre.

Zurban – Eric Quéméré

L’un des atouts du film reste de ne pas jouer la carte du vedettariat () pour mieux interroger le « citoyen moyen », et nous mettre ainsi devant nos propres responsabilités. es au dossier (…).

-Vendredi 17 juin à partir de 19h30

20h00 Projection du film sur le G 8 à Gênes « Don’t clean up the blood » Gênes 2001. Le brut et la fureur…

En présence du réalisateur !

Les événements survenus en juillet 2001 lors du sommet du G8 sont narrés dans ce court documentaire. Dans ce film, l’audiovisuel rejoint le politique pour en faire un véritable moment de la contestation internationale du système capitaliste. Le film a été fait par un collectif de Marseille qui s’appelle Primitivi. Il présente les différentes formes de mobilisation à Gènes (Pink block, black block, etc…).

Le collectif « ratatouillons le G8 » organise la projection et débat ( http://www.dragonbleu.org/G8 ) C’est un collectif qui s’est constitué en vue de la mobilisation contre le G8 en Ecosse (6-8 juillet 2005).

-Samedi 18 juin

Attention : « Le Barbizon » hors les murs II

Au Palais Omni-Sport de Paris Bercy (métro : Bercy)

Un stand d‚information de l‚association sera présent à Bercy, dans le cadre du printemps de la démocratie Venez nous rencontrer !

-Samedi 25 juin

18h00 : « Kashima Paradise » Un film de Yann Le Masson, 90′

Production : Les Films Grain De Sable © 1973 Documentaire tourné au Japon sur l’histoire d’un village bouleversé par l’édification d’un complexe industriel géant. Ce film dénonce les violents affrontements entre les forces de l’ordre et les paysans qui refusent de vendre leurs terres au profit de l’expansion économique du pays. Cependant, les officiels japonais, par la violence ou par la ruse, surmontent ces difficultés. Tout semble prouver que, comme à Kashima, c’est le « Paradis » pour les trusts.

PRIX GEORGES SADOUL 1973
FESTIVAL DE CANNES « SEMAINE INTERNATIONALE DE LA CRITIQUE »
SÉLECTION FRANÇAISE POUR L’OSCAR – HOLLYWOOD – 1974

20h00 Rêve d’usine
film documentaire de Luc Decaster, 2003, 1h38min

En présence du réalisateur !

Photo : Patrice Guillou. Musique : Serge Adam. Production : Corto Pacific. Distribution : Zootrope Films.

Tourné fin 1999, Rêve d’usine a été récompensé du Grand Prix du 20e Festival international du film d’environnement de Paris en novembre 2001 et a été présenté lors des Rencontres internationales de cinéma de Paris en novembre 2002.
Dans ce film Luc Decaster a filmé les salariés d’Épéda, à Mer dans le Loir-et-Cher, depuis le moment où ceux-ci apprennent que leur usine, pourtant bénéficiaire, va fermer (septembre 1999) jusqu’à la fin d’un conflit social de plusieurs mois. Le travail s’arrête lentement, Luc Decaster a capté le quotidien des ouvriers jusqu’au jour de leur licenciement. Des conversations spontanées naissent dans le silence des machines les ouvriers expriment leur colère et leur incompréhension. Comme pris au piège devant leurs machines, les ouvriers, livrés à eux-mêmes, cherchent en vain un interlocuteur. Du conflit social au traumatisme individuel, de la colère à la souffrance, de l’incrédulité à la résignation, Rêve d’usine donne à voir un drame humain dans toute sa violence, sa complexité, son absurdité.
Le Monde Jacques Mandelbaum. D’autant plus forte et cruelle sera la scène où les ouvriers mettent enfin la main sur le directeur de l’usine, contraignant le pauvre hère, muré dans sa peur et son silence, à répondre de leur malheur, lui à qui, tout comme eux, l’essentiel sans doute échappe.

Les Inrockuptibles Amélie Dubois. Ce documentaire émouvant est aussi une réflexion sur le cinéma comme outil d’invention politique.

Monsieur Cinéma Stéphanie Thonnet. Et lorsque arrivent les touchantes scènes du dernier bal, des dernières embrassades, du départ des machines, les plans des ateliers déserts, on se dit que l’usine est vidée de son âme mais, grâce à ce film document, pas des âmes qui l’ont habitée.

-Dimanche 26 juin

16h00 AG de l‚association « Les Amis de Tolbiac », bilan de l‚année, suivi d‚un échange avec le public.

18h00 : Paroles de bibs

documentaire de Jocelyne LEMAIRE-DARNAUD, 2001, 1H36

MARS DISTRIBUTION

En présence de la réalisatrice !

Dans un livre publié fin 1998 chez Grasset,François Michelin mettait en avant sa conception humaniste du capitalisme,quelques mois avant l‚annonce d‚une vague de licenciements sans précédent dans son entreprise. Paroles de Bibs est le droit de réponse des ouvriers de Clermont-Ferrand, le fruit d‚une rencontre ludique, entre la littérature d‚un grand patron, François Michelin, qui aime à dire : « J‚aime parler avec des gens qui ne pensent pas comme moi,cela m‚apprend beaucoup de choses », et la réalité quotidienne des hommes et des femmes dont il parle/ ses ouvriers les Bibs. Prix du Public au festival de Belfort – 2001

20h00: AVANT-PREMIERE

« Le Barbizon ou la vie Underground » documentaire de Daniel Ropars, 2005, 1h20min.

En présence du réalisateur !

Ce film, tourné pendant près d‚un an et demi, retrace la renaissance du cinéma « Le Barbizon » dans le 13ème arrondissement de Paris. Abandonné en 1982, en 2002 un collectif de citoyens du quartier décident de la remettre en service Travaux, procès et culture

Ce film sera suivi d‚un débat public avec Le réalisateur et une grande partie de l‚équipe des « Amis De Tolbiac »

-Juillet 2005

-Samedi 2 juillet à 19h30

« Aliya, l’éléphant du Sri Lanka » Documentaire de 53 mn de Srinath Christopher Samarasinghe.

En présence du réalisateur !

Un jeune cinghalais qui vit en France se penche sur des photos qu’il a prises dix ans auparavant, au Sri Lanka, dans un orphelinat pour éléphant. Sur l’une d’elle, un éléphanteau regarde l’objectif avec une tristesse infinie. Le cinghalais décide de retourner sur l’île pour connaître la raison de sa tristesse. Le réalisateur, d‚origine Sri-Lankaise, fait navigué le documentaire sur plusieurs genres : social, animalier et écologique.

-Dimanche 3 juillet à partir de 17h

Musique d‚improvisation :

OgniQualVolta (+ invités)